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ZOOM SUR UN JURY LOCAL EN GRAND-EST : Concours des pratiques agro-écologiques – Agroforesterie 2021

La troisième édition du concours est lancée. Depuis début octobre, les jurys se regroupent pour évaluer les candidats des territoires sélectionnés dans chaque région : Bourgogne-Franche-Comté (territoire Charolais-Brionnais), Grand Est (territoire « Outre-Forêt » en Alsace), Hauts-de-France (territoires PNR Caps et Marais d’Opale et Santerre), Normandie (département de l’Eure), NouvelleAquitaine (département de la Charente-Maritime et inter-territoire en Deux-Sèvres), Occitanie (territoire PNR Pyrénées catalanes), Pays de la Loire (département de la Vendée) et Région Sud (département du Vaucluse).

Les jurys locaux se consacrent à la présélection régionale jusqu’à fin décembre. En début d’année 2021, les dossiers présélectionnés seront étudiés pour la finale nationale. Rendez-vous fin février pour l’annonce des lauréats !

En savoir plus sur le concours

Retour en images sur les visites du jury Grand-Est !

Lundi 02 novembre avaient lieu les visites de parcelles des 4 candidats en Grand-Est. Les participants ont été évalués sur des critères agronomiques, l’impact sur la biodiversité, l’eau, le paysage ainsi que sur des critères sociaux et de transmission de connaissance.

Les membres du jury – Anne Barth (Chambre d’agriculture de Moselle), Arthur Keller (Ligue pour la Protection des Oiseaux), Thomas Lacroix (Chambre d’agriculture des Vosges) et Véronique Stangret (Éduc Agri) – se sont rendus sur les parcelles des agriculteurs ayant présenté leur candidature auprès de Jacques Detemple (Haies Vives d’Alsace) et Patrick Cochard (Chambre d’agriculture de l’Aube), organisateurs de la journée.

Le premier prix local d’Équilibre Agro-écologique Agroforesterie a été décerné à la ferme d’Ernest Hoeffel à Walbourg :

Corinne Bloch et Ernest Hoeffel ont pour objectifs d’atteindre l’autonomie alimentaire de leur troupeau en intégrant les arbres dans le systèmes de production. Pour cela, il est nécessaire de “redonner leur place aux haies et aux arbres dans le monde agricole”. Cet élevage en bio de vaches charolaises a complètement intégré les pratiques agroforestières à son système de production depuis 3 ans. L’arbre crée de nombreux avantages sur la ferme : le broyât de bois associé à la paille sert à la litière des animaux, des haies “sauvages” sont une immense niche de biodiversité et certaines haies et arbres têtards accessibles aux animaux sont une sources de minéraux et d’anti-inflammatoires pour leur alimentation. Convaincus des bienfaits de l’arbre pour leur exploitation et pour leur environnement, les lauréats ne souhaitent pas s’arrêter là et ont commencé à planter de nouvelles haies.

L’élevage de Clément Schweitzer à Schleithal, 2ème prix et prix du pionnier :

“Quand on travaille avec les insectes et la biodiversité, on a besoin de soutien avec les bandes enherbées, les plantations intra-parcellaires, les haies. Il faut avoir des zones de refuge.”

Cet éleveur porcin cultive ses grains en bio depuis 2010. Lorsqu’il a repris l’exploitation familiale, Clément Schweitzer a décidé de réintroduire l’arbre sur ses parcelles de grandes cultures. Pour le plaisir d’avoir de beaux paysages, l’éleveur plante chaque année des arbres sur ses parcelles. L’introduction de haies et de plantations intra-parcellaires a eu un impact positif sur l’exploitation du candidat : limitation des coulées de boues lors de fortes intempéries et des effets du vent et augmentation de la biodiversité.

La ferme de Julien Scharch à Saessolsheim, 3ème prix et prix spécial Exploitation dans son territoire :

Julien Scharch et son fils font du maraichage de plein champ et de la culture de céréales en bio. Face à des parcelles de grandes surfaces, ces agriculteurs ont été frappés par la désertification du paysage. Depuis plusieurs années, ils ont réintroduit l’arbre en plantant des haies entre leurs parcelles avec un rituel de plantation tous les premiers samedis de janvier. Aujourd’hui ils ont obtenu un linéaire de 2,5 km mais ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin : ils visent un linéaire de 3 à 4 km et la valorisation des haies ainsi plantées en bois d’oeuvre. Ils ont constaté les bénéfices de la haie avec le retour de la biodiversité et d’espèces d’oiseaux en voie de disparition, l’arrêt d’une très forte coulée de boue en 2018, la limitation de l’impact du vent et un dessèchement moins rapide de la terre lors d’épisodes de sécheresse.

Ils ont également réussi à fédérer un grand nombre d’acteurs autour de l’arbre en en faisant un centre d’intérêt collectif. Le conseil municipal, des bénévoles et des associations les accompagnent dans leurs activités de plantation.

Les parcelles de Roland Wendling à Knoersheim :

Cet ancien éleveur de lapins exploite 10 ha de parcelles céréalières et une petite forêt. Il est convaincu que pour produire plus et mieux, il faut introduire des pratiques agroécologiques. Cet agriculteur a expérimenté de nombreuses techniques : arrêt du labour pendant 10 ans, la plantation intra-parcellaire et la haie. à l’origine, l’agriculteur s’est intéressé à l’arbre pour ses effets sur la fertilisation des sols et pour sa capacité à en limiter l’érosion. Aujourd’hui, Rolland Wendling se concentre plutôt sur les effets de l’arbre contre le réchauffement climatique. Sensible à cette problématique, il encourage la plantation d’arbres pour stocker du carbone sur le long terme.

Au terme de cette journée, nous retenons que chaque candidat a perçu les bénéfices de l’arbre pour son système d’exploitation. L’introduction de l’arbre n’a pas eu d’effets négatifs sur leurs productions, ils constatent tous un rendement stable voire amélioré. L’investissement et les convictions de chacun sur la place de l’arbre dans le monde agricole sont très inspirantes.

EN REPLAY : nos propositions pour la PAC (webconférence)

Le 19 octobre dernier, l’Afac-Agroforesteries présentait ses propositions pour la future PAC lors d’une webconférence. En s’appuyant sur l’expertise de notre réseau, nous nous sommes donc mobilisé·e·s pour construire des propositions pour une PAC qui favorise le maintien, la gestion durable et le développement de l’arbre et la haie. Ce plaidoyer pour l’arbre et la haie se poursuivra tout au long de l’élaboration du Plan stratégique national, qui définira les interventions et les modalités de mise en œuvre de la PAC à l’échelle nationale.

Vous pouvez regarder à nouveau la webconférence ou la découvrir ci-dessous ( pour un visionnage rapide, voir la conclusion à 53 min 53)

 

Les thématiques abordées :

>>  Les enjeux du développement de l’agroforesterie pour la prochaine décennie

>>  Comprendre la réforme de la PAC : opportunités et incidences pour l’agroforesterie

>>  Nos propositions pour placer l’arbre au coeur de la future PAC

Intervenant·es :

Frédéric Coulon

Ingénieur
Solagro
& membre du Conseil d’Administration de l’Afac-Agroforesteries

Fabien Liagre

Responsable Recherche & Développement
AGROOF
& membre du Conseil d’Administration de l’Afac-Agroforesteries

Catherine Moret

Responsable projets
Afac-Agroforesteries

Baptiste Sanson

Responsable projets
Afac-Agroforesteries

Nos propositions résumées :

L’Afac-agroforesteries a publié un Cahier d’acteur sur la plateforme « ImPACtons » afin de synthétiser et porter au débat nos propositions pour l’arbre et la haie dans la future PAC. Vous pouvez continuer à le commenter et la relayer en cliquant ici.

Découvrir le cahier d’acteur 

Enquête OFB – Impacts des modes de gestion des infrastructures vertes sur la biodiversité et la qualité de l’eau

L’Office français de la Biodiversité (OFB) mène une étude sur les impacts des modes de gestion des infrastructures agroécologiques sur la qualité de l’eau et la biodiversité*. 

Les infrastructures agroécologiques sont l’ensemble des habitats semi-naturels présents dans les paysages agricoles et qui contribuent aux services agroécologiques : prairies permanentes, haies et arbres champêtres, lisières de bois, bandes enherbées, bordures de champs, jachères, mares, zones humides, ripisylves, fossés.

Après une phase bibliographique, ce travail se poursuit par une enquête en ligne afin de recueillir l’avis des opérateurs locaux en matière de gestion des infrastructures agroécologiques. Chacun peut aussi faire part des leviers d’actions identifiés, des freins rencontrés et aussi des propositions pour la mise en œuvre d’une gestion favorables à la biodiversité et à la qualité de l’eau.

Cette enquête s’adresse donc à tous les organismes et les collectivités qui mènent ou accompagnent des actions de création, d’entretien, et de restauration des infrastructures agroécologiques.

Participer à l’enquête

 

*Étude sur le « Recensement des modes de gestion des infrastructures vertes en milieu agricole et analyse des effets des modes de gestion sur la qualité de l’eau et la biodiversité », commanditée par l’OFB et réalisée par Solagro, Écotone et Icare2.

Mesure “haies” du plan de relance économique : pour une approche complète de la haie, de l’amont à l’aval

 

Alors que, depuis 1950, 70 % des haies ont disparu des bocages français et que cette érosion continue de se poursuivre au rythme de 11 500km par an, l’intégration d’une mesure “haies” dans le Plan de relance est une occasion unique pour enrayer la disparition des haies en France. Au-delà du montant conséquent des aides allouées à cette mesure – plusieurs dizaines de millions pourraient être mobilisés sur deux ans -, son caractère inédit réside dans l’articulation, pour la première fois, de quatre volets complémentaires : « replanter 7 000 km de haies, instaurer une gestion durable des haies existantes et structurer les filières locales de production d’arbres et de valorisation de la biomasse issue des haies »* . Dans un contexte où l’adaptation des systèmes agricoles et des territoires au changement climatique n’est plus une option mais une impérieuse nécessité, c’est bien cette approche complète, de l’amont à l’aval, que souhaite encourager l’Afac-Agroforesteries, en tant que réseau national pour l’arbre et la haie. 

L’inscription d’une mesure dédiée à la haie dans le plan de relance économique est un signal fort. Il signifie que les haies ne sont plus considérées uniquement à l’aune des enjeux environnementaux qu’elles représentent mais dans une perspective plus globale où les haies sont le support d’un triple développement territorial : à la fois agricole, environnemental et économique. Dès lors, il s’agit non pas d’opposer ces trois approches mais de chercher à les articuler. Il s’agit de faire de la transition écologique un moteur de l’économie et non pas un frein. La haie en donne une parfaite illustration.

Des milliers d’emplois sont en effet concernés directement ou indirectement par l’économie territoriale liée aux haies : les agriculteurs en tant que principaux gestionnaires, les conseillers agroforestiers qui accompagnent les agriculteurs dans la bonne gestion de leurs réseaux de haies, les collecteurs de graines et les pépiniéristes qui produisent les centaines de milliers de plants arbres et d’arbustes pour créer de nouvelles haies, les gestionnaires des collectivités qui s’appuient sur les services écosystémiques rendus par les haies ou qui s’approvisionnent en bois issus des haies pour se chauffer, les salariés des structures de distribution du bois bocager, les entreprises agroalimentaires valorisant l’engagement environnemental de leurs fournisseurs, etc. Cette nouvelle économie des territoires liée aux haies est aussi celle qui peut nous permettre de les sauver d’une érosion irréversible. Si les haies ont considérablement régressé en France et continuent de disparaître à un rythme de 11 500 km par an, c’est notamment parce que ce réseau bocager a perdu sa valeur économique et sa valeur d’usage. Redonner aux haies un intérêt économique réel permettra d’assurer leur préservation et leur restauration sur le long terme, et par là-même de bénéficier des services écologiques qu’elles remplissent (protection de l’eau, biodiversité, production de biomasse, stockage de carbone, qualité des et identité des paysages…). La haie est un « couteau suisse » de l’écologie et constitue probablement l’un des moyens les moins onéreux, le plus rapide et efficace pour que la France atteigne les objectifs qu’elle s’est fixée lors de l’Accord de Paris.

Soutenir l’accompagnement technique de la mesure « haies » dans les territoires :

Une enquête menée par l’Afac-Agroforesteries auprès des opérateurs de l’arbre et la haie en France a démontré que les acteurs en place ont toute la capacité opérationnelle à engager, dès maintenant, des actions portant sur l’ensemble de la filière haie, sur chacun des volets de la mesure « haies » du Plan de relance. Des projets déjà en cours, mais demandant à être renforcés, permettraient de déployer ces actions dès le début de l’année 2021.  Cela permettrait de sauver des dizaines de milliers de kilomètres de haies, d’accélérer la transition écologique des territoires et de relancer une économie liée à la haie. Pour que la mesure « haies » du Plan de relance soit à la hauteur de ces enjeux, il est impératif qu’elle appuie l’ensemble de ces structures d’ingénierie territoriale autour des haies, ayant la compétence d’accompagnement à la plantation et à la gestion des haies champêtres (Parcs naturels régionaux, Syndicats de bassin versant, associations ayant pour objet principal l’arbre et la haie, Chambres d’Agriculture, Fédération départementales des Chasseurs, SCIC de valorisation du bois bocager…). Leur rôle d’accompagnement technique est indispensable pour assurer un accompagnement des agriculteurs dans la réappropriation de leurs haies, leur développement et l’adoption de pratiques de gestion durable de ces haies.

Prendre en compte la filière haie de l’amont à l’aval :

Pour être efficace, il est nécessaire que la mesure « haies » du plan de relance soit construite au regard de plusieurs objectifs opérationnels : depuis les filières amont de pépinières pour la production de plants d’arbres et d’arbustes jusqu’aux filières aval de valorisation de la biomasse issue des haies, en passant par la plantation et la gestion durable des haies déjà en place :

  • Objectif 1 : la mesure « haies » doit permettre la restauration des haies existantes par une gestion durable, afin de garantir leur bon état écologique. Sans cette gestion durable, le capital « haie » continuera de se dégrader de façon très rapide ; en effet, les haies meurent aujourd’hui de pratiques d’entretien dégradantes avec l’usage d’outils mécaniques inadaptés (lamier, épareuse, broyeur…) et de vieillissement par manque de régénération.
  • Objectif 2 : la mesure « haies » doit permettre la valorisation économique de ces haies en renforçant et en développant les filières locales de valorisation de la biomasse issue des haies. Pour garantir la fourniture d’une ressource renouvelable et respectueuse de l’arbre, la mesure peut s’appuyer sur des certifications telles que le Label Haie.
  • Objectif 3 : la mesure « haies » doit soutenir la plantation de nouvelles haies ou leur régénération naturelle assistée, en particulier dans les zones où le patrimoine arboré est le plus dégradé. Sur ces territoires, la replantation des haies est une priorité.
  • Objectif 4 : en amont des plantations, la mesure « haies » doit soutenir la structuration des filières françaises de collecte de graines et de production de plants, puisque la plantation de 7000 kilomètres de haies représente un besoin de production d’environ 7 millions de plants d’arbres et d’arbustes. Si l’on veut que les plants d’arbres et d’arbustes de ces futures haies soient résilients au changement climatique et que les haies ainsi plantées remplissent leur rôle en matière de biodiversité, il est essentiel que les graines des arbres et des arbustes des futures haies soient d’origine génétique locale et issues de collecte en milieu naturel, comme le garantit la marque Végétal local, propriété de l’Office français de la biodiversité. À défaut, cela reviendrait à soutenir la plantation de plants tout venant, issus d’un marché européen, sans cohérence avec la biodiversité de nos territoires ni avec l’objectif premier du plan de relance : soutenir l’économie française et sa transition écologique.

Tous les bilans des politiques publiques de replantation des haies de ces vingt dernières années l’ont démontré : les dispositifs de soutien à la replantation qui n’intègrent pas la préservation de l’existant et le développement des filières de l’amont à l’aval sont inefficaces pour stopper le déclin des haies. Ce déclin n’est pas inéluctable et le contexte n’a jamais été aussi propice pour créer une nouvelle économie des territoires liée aux haies et créer les nouveaux paysages de l’arbre pour la transition. Dotée de moyens sans précédents, la mesure « haies » doit permettre d’inverser cette tendance, elle ne peut pas être un simple symbole du verdissement du Plan de relance.

 

 

 

[réponse avant le 16/11/20] 3ème Appel à Manifestations d’Intérêt – Évaluation de l’efficacité des mesures de gestion Natura 2000

L’Office français de la biodiversité (OFB) lance un Appel à Manifestations d’Intérêt (AMI) finançant ou co-finançant des suivis standardisés pour évaluer l’efficacité de mesures de gestion mises en œuvre au sein du réseau Natura 2000. Cet AMI fait suite à deux AMI précédemment lancés.

Les projets sélectionnés mettront en place des suivis pendant une durée de cinq ans selon un cadre méthodologique pré-établi. Les résultats permettront d’identifier les modalités de gestion les plus efficaces mais aussi les méthodes et indicateurs les plus pertinents pour suivre les effets des mesures et ainsi améliorer le processus global de gestion.

EN SAVOIR PLUS

Les dossiers de candidature à cet AMI doivent être envoyés avant le 16 novembre 2020.

WEBCONFÉRENCE : Nos propositions pour l’arbre et la haie dans la future PAC

La Politique agricole commune (PAC) fait actuellement l’objet de négociations pour concevoir ce qui sera le paysage agricole de demain. Dans un contexte d’érosion de la biodiversité et de crise climatique, où l’agriculture se place tant du côté des problèmes que de celui des solutions, les enjeux sont élevés ; et l’agroforesterie se montre comme une clé de voute à l’intersection des différents défis que doit relever le monde agricole. Dans un dispositif aussi structurant que celui de la PAC, nous sommes convaincu·e·s que l’arbre doit être central, placé comme un allié des agriculteurs et agricultrices, un levier pour leurs performances environnementales et économiques. 

En s’appuyant sur l’expertise de son réseau, nous nous sommes donc mobilisé·e·s pour construire des propositions pour une PAC qui favorise le maintien, la gestion durable et le développement de l’arbre et la haie. 

Nous vous présenterons ces mesures au cours d’une webconférence le 19 octobre à 14h.

Programme

>>  Les enjeux du développement de l’agroforesterie pour la prochaine décennie

>>  Comprendre la réforme de la PAC : opportunités et incidences pour l’agroforesterie

>>  Nos propositions pour placer l’arbre au coeur de la future PAC

Intervenant·es :

Frédéric Coulon

Ingénieur
Solagro
& membre du Conseil d’Administration de l’Afac-Agroforesteries

Fabien Liagre

Responsable Recherche & Développement
AGROOF
& membre du Conseil d’Administration de l’Afac-Agroforesteries

Catherine Moret

Responsable projets
Afac-Agroforesteries

Baptiste Sanson

Responsable projets
Afac-Agroforesteries

Suivez notre webconférence le 19 octobre à 14h :

https://zoom.us/j/93691546524

Vous pouvez d’ores et déjà porter la voix de l’arbre au cœur des débats sur la PAC :

L’Afac-Agroforesteries promeut et met  en œuvre des politiques globales de développement de l’arbre et de la haie dans tous les territoires, pour répondre aux enjeux de transition agroécologique, de lutte contre l’effondrement de la biodiversité et de résilience face à la crise climatique. À ce titre, nous avons publié un Cahier d’acteur sur la plateforme “ImPACtons” afin de synthétiser et porter au débat nos propositions pour l’arbre et la haie dans la future PAC. 

Vous pouvez continuer à le commenter et la relayer en cliquant ici.

À ce jour, le cahier d’acteur de l’Afac-Agroforesteries est le plus suivi de la plateforme ! 

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