28 10 2015 | Actualités
Le Réseau Rural Agroforestier Français recherche 13 correspondants régionaux issus de leur réseaux. Il financera ces correspondants régionaux à hauteur de 0,1 ETP/an.
Le collectif de mobilisation collective pour le développement rural « Réseau Rural Agroforestier Français » (Afac-Agroforesteries, AFAF, Chambres d’agriculture, FNCUMA, IDF, APAD) souhaite renforcer son implication et celle de son réseau de membres auprès des réseaux ruraux régionaux (RRR), des conseils régionaux et des DRAAF. Les treize relais/animateurs régionaux, associés aux structures nationales d’animation constituent le cœur du dispositif. Chacun de ces 13 relais régionaux bénéficiera d’un financement de 0,1 ETP (cofinancés à 80%) pour la réalisation des missions qui lui seront confiées.
Les candidatures sont à envoyer jusqu’au 20 novembre. Après cette date, vous disposerez des dossiers de chacun des candidats pour préparation de la réunion de sélection du 1er décembre.
28 10 2015 | Actualités
La chambre d’agriculture d’Ille-et-Vilaine a réalisé ce guide pratique “Produire du bois d’oeuvre dans le bocage” afin de sensibiliser les acteurs de l’arbre champêtre et de leur apporter un nouvel éclairage sur le bocage breton en lui retrouvant une valeur économique directe. Savoir tailler les jeunes arbres, évaluer le potentiel en bois d’oeuvre des arbres plus âgés, connaitre les usages potentiels des essences du bocage, … Toutes ces connaissances et savoirs-faire, à acquérir pour une valorisation de la ressource “bois bocager”, sont abordés dans ce livret.
27 10 2015 | Actualités
La région Nord-Pas de Calais vous invite à participer au deuxième colloque sur les “Métiers de l’arbre” le 24 novembre 2015. Cette journée sera animée par le journaliste de France Inter, Denis Cheissoux. Elle aura lieu au Siège de Région, 151 Avenue du Président Hoover, 59 555 Lille.
vous pouvez dès à présent confirmer votre présence via le lien suivant: participons.net/colloquearbre2015.
26 10 2015 | Actualités
“La coopérative normande Bois Bocage Energie développe une filière locale en exploitant les haies. L’entreprise a fait des émules, dessinant un modèle économique de circuit court.”
Cet article sur la SCIC Bois Bocage Energie, membre du réseau Afac-Agroforesteries, située en Normandie dans l’Orne avec comme responsable technique Laurent Nevoux, explique le montage d’une filière d’approvisionnement durable en Bois énergie issu du bocage normand. Alternatives-Economiques revient sur l’origine de la SCIC et sur son objectif principal : considérer l’entretien des haies non plus comme une charge pour les agriculteurs, mais comme une source de revenus complémentaires.
Aujourd’hui, le défi n’est plus seulement de convaincre les agriculteurs d’une telle démarche, il est de faire face à la concurrence. Les grosses centrales menacent les circuits locaux d’approvisionnement en bois énergie. L’enjeu de faire-valoir et reconnaitre une gestion durable de la ressource “bois bocager” est donc primordial pour lutter contre cette concurrence.
26 10 2015 | Actualités
Le projet CASDAR parcours volailles est un projet réunissant différents partenaires de la filière (des chercheurs aux acteurs en passant par les consommateurs) dont l’Afac-Agroforesteries, pour étudier et réfléchir et quantifier les services rendus par les parcours de volailles. La scop AGROOF, spécialisée en agroforesteries et partenaire du projet a suivi pendant 4 ans le projet, accumulé quelques 750 plans vidéos pour retransmettre de manière pratique et originale le contenu de ce travail. Voici la vidéo du projet CASDAR parcours volailles qui illustre tous les avantages des plantations des espaces extérieurs pour les poulets label rouge ou bio.
26 10 2015 | Actualités
La centrale de biomasse à Gardanne porté par E.ON et soutenu par l’Etat doit être mise en route en 2016 mais beaucoup d’acteurs locaux se mobilisent pour stopper la machine. Le reportage enquête sur ce projet d’envergure dont les impacts sur la ressource et les paysages des Boûches-du-Rhône pourraient être terribles et irréversibles. Au nom du développement des énergies renouvelables, ce projet s’autorise la surexploitation des forêts méditerranéennes et impose un changement radical des pratiques sylvicoles. Coupes rases, replantations monospécifiques, ici la logique financière ne s’intéresse pas à l’état initial de la forêt mais à son taux de rendement. De plus, ce projet à grande échelle risque de désorganiser et de concurrencer les circuits courts d’approvisionnement territorial en bois déchiqueté mis en place ultérieurement. Le marché local du bois est lui-même menacé.